Rétrospective 2024 : une année intense au service de la population

  • Par la lieutenante Floriane Hours
  • Publié le 07 janvier 2025
Une gendarme devant la tour Eiffel
© SIRPA-G - BRC F. Arrighi

Chaque année, jour après jour, les 134 738 femmes et hommes qui composent la gendarmerie nationale se mobilisent au cœur des événements et des territoires, pour informer, secourir et protéger la population. Mis à rude épreuve durant l’année 2024, ils ont fait preuve d’un engagement sans faille. Entre les grands événements internationaux et une forte mobilisation en métropole et dans les territoires d'outre-mer, retour sur une année particulièrement intense.

L’année 2024 a indéniablement été forte en émotions pour l’ensemble de la population. Elle a ainsi été riche en événements, comme les cérémonies des 80 ans des Débarquements de Normandie et de Provence, les Jeux Olympiques et Paralympiques, la réouverture de Notre-Dame, etc. Elle a également été marquée par plusieurs crises qui ont touché la métropole et les territoires ultramarins, à l’instar des troubles à l’ordre public liés aux manifestations du monde agricole, des émeutes en Nouvelle-Calédonie, ou encore de la crise sécuritaire à Mayotte, qui a également subi le passage dévastateur du cyclone Chido en fin d’année. Au cœur de l’action, les gendarmes de toutes les subdivisions d’armes se sont mobilisés tout au long de l’année pour protéger, secourir et maintenir l’ordre.

Les grands événements de 2024

Si l’on devait retenir un événement de 2024, une manifestation qui a fait vibrer la France durant plus d’un mois, ce serait celui-ci : les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris. Lancés le 26 juillet, lors d’une cérémonie d’ouverture incroyable, les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris ont marqué l’ensemble du territoire. Dès l’arrivée de la Flamme, le 8 mai, sur son parcours, puis tout au long des épreuves sportives, les militaires de l’Institution ont été en première ligne pour assurer la sécurité des différentes emprises, des sites touristiques et des transports en commun. Certains ont même porté haut les couleurs de la gendarmerie lors des compétitions. Quinze des sportifs de haut niveau de la défense sélectionnés pour ces JOP (11 athlètes et 4 para-athlètes) sont en effet des sportifs de la Gendarmerie. Six d'entre eux sont montés sur le podium olympique, décrochant notamment trois médailles d’or, à l’instar de la judoka Clarisse Agbegnenou, par équipe, de l’escrimeuse Manon Apithy-Brunet, en individuel, ou d’Althéa Laurin, première championne olympique de l’histoire du taekwondo français. Les para-athlètes de la gendarmerie ont quant à eux remporté une médaille d’argent et deux de bronze.

Deux cavaliers de la gendarmerie devant la vasque des JO.
© GEND/SIRPA/GND R. CULPIN

Parmi les autres événements marquants de l'été 2024, on retiendra aussi les cérémonies célébrant le 80e anniversaire du Débarquement en Normandie en juin, puis celui de Provence mi-août. Pour garantir la sécurité et le bon déroulement de ces événements, des centaines de gendarmes ont été mobilisés. Deux mois plus tard, le 5 octobre 2024, la France a de nouveau été au centre de l’actualité le temps d’un week-end. À l’occasion du 19e Sommet international de la Francophonie, une cinquantaine de chefs d’État se sont ainsi retrouvés à Villers-Cotterêts, dans l'Aisne, nécessitant également un dispositif conséquent de sécurisation. Le 10 novembre 2024, à plusieurs centaines de kilomètres de là, aux Sables-d’Olonne, c’est le départ du Vendée Globe, course de voiliers mythique, qui a cette fois mobilisé les forces de gendarmerie pour assurer la sécurité des participants et des milliers de spectateurs. Le 15 décembre, plus au sud, une visite historique a mobilisé près de 2 800 forces de l'ordre : la venue du pape François en Corse. Les gendarmes de l’île, soutenus par des escadrons de gendarmerie mobile, ont contribué à assurer la sécurité de cette visite, qui a rassemblé pas moins de 8 000 fidèles.

Trois gendarmes marchent dans la rue. Autour d'eux, flottent des drapeaux anglais.
© SIRPA-G - MDC B. Lapointe

Une présence renforcée dans les territoires d'outre-mer…

Si l’année a été intense en métropole, elle l’a également été outre-mer. Sur l’ensemble des territoires ultramarins, les militaires de la gendarmerie ont été particulièrement sollicités cette année. À Mayotte, le contexte sécuritaire particulièrement dégradé a ainsi nécessité l’envoi de renforts supplémentaires. Pour mémoire, fin 2023, une opération d’envergure a été lancée dans ce département pour répondre à la crise sécuritaire, avec pour objectif d’interpeller 60 chefs de bande. Début 2024, dans le prolongement de cette opération et compte tenu du contexte, six unités de force mobile ont été déployées sur l’archipel. En février, le ministre de l’Intérieur s’est rendu sur place. Dans un communiqué, il a annoncé l’envoi d’une quinzaine de gendarmes du GIGN pour renforcer les effectifs sur place et continuer de mener des opérations coup de poing afin de lutter contre la délinquance et l’immigration illégale. En août, le major général s’est à son tour rendu à Mayotte. Une visite structurée autour de quatre axes principaux : la mise en œuvre et les perspectives du Plan d’action Mayotte, la lutte contre la délinquance, les opérations de destruction de l’habitat informel et bien sûr la Lutte contre l’immigration irrégulière (LIIC), élément structurant de la politique de sécurité et de lutte contre la délinquance à Mayotte.

En Nouvelle-Calédonie, l’adoption par le Sénat, puis par l’Assemblée, le 13 mai 2024, d’un projet de loi constitutionnelle sur la Nouvelle-Calédonie prévoyant le dégel du corps électoral, a embrasé le territoire. Face à la violente insurrection, plus de 4 000 gendarmes ont été déployés pendant plusieurs mois afin de rétablir l’ordre et de protéger la population… et ce jusqu’au sacrifice ultime, puisque deux gendarmes ont perdu la vie au cours des émeutes. Quelques mois plus tard, alors que la situation se stabilisait doucement en Nouvelle-Calédonie, une partie de La Martinique s’enflammait à son tour. Dès le début septembre, les manifestations contre « la vie chère » se sont multipliées. Face à la violence croissante, un couvre-feu partiel était notamment imposé. Pendant plusieurs semaines, les forces de gendarmerie ont dû rester mobilisées.

Des gendarmes descendent d'une pente dévastée.
© SIRPA-G - GND R. Culpin

Alors que des tensions persistaient dans une grande partie des territoires d'outre-mer, l’île de Mayotte a dû faire face à un tout autre type de violence, celle des éléments, quand le cyclone Chido, a balayé l’archipel le samedi 14 décembre, ravageant tout sur son passage. Eux-mêmes éprouvés par la catastrophe, les militaires de la gendarmerie, principale force de sécurité intérieure du territoire, ont fait partie des premiers à intervenir pour déblayer les axes, secourir et aider la population, protéger les personnes et les biens, et faciliter le travail des secours. Une mission qui a mobilisé (et mobilise encore), jour et nuit, les 800 gendarmes de l’île (350 départementaux et 400 mobiles), renforcés par deux compagnies de marche (celle en provenance de La Réunion ayant été relevée par une seconde CDM venue de métropole les 29 et 30 décembre) ainsi que par deux escadrons de gendarmerie mobile supplémentaires, portant le nombre total d’EGM à huit.

… et en métropole

En métropole, au-delà des grands événements, les missions des gendarmes départementaux se sont poursuivies, en étant marquées par des épisodes climatiques de forte intensité. Dans le nord de la France, l’année 2024 a ainsi commencé les pieds dans l’eau. Alors que la région était frappée par d’importantes inondations, les militaires ont répondu présent aux côtés des habitants sinistrés pour leur porter secours et protéger leurs habitations.

Entre le 16 janvier et le 2 février 2024, les agriculteurs ont manifesté dans tout le pays : plus de 200 points de blocage ont été recensés sur tout le territoire et plusieurs convois ont convergé vers Paris. En Île-de-France comme dans les autres régions concernées, plusieurs milliers de gendarmes ont été mobilisés pour veiller au bon déroulement et à l’accompagnement des convois et des manifestations, et ainsi assurer la sécurité des agriculteurs. Ils étaient 2 700 au plus fort de la crise, le 25 janvier.

Deux gendarmes de dos devant des centaines de tracteurs positionnés en contre-bas
© GEND/SIRPA/BRC F. Arrighi

Toujours en matière de maintien de l’ordre public sur le territoire métropolitain, l’année 2024 a été marquée par de multiples manifestations tout au long de l’année contre le projet de l’autoroute A69 entre Toulouse et Castres. De nombreux rassemblements ont dégénéré, donnant lieu à des affrontements avec les forces de l’ordre.
Dans un registre plus léger, les militaires de la gendarmerie ont également été déployés lors d'événements festifs, à l'image du Tour de France masculin et féminin 2024.
Dans le nord de la France, les gendarmes ont également été engagés tout au long de l’année sur le littoral dans le cadre de la LIIC. Face à une pression migratoire intense, se traduisant par une multiplication des tentatives de traversées maritimes clandestines de la Manche sur des embarcations de fortune, les gendarmes départementaux renforcés par des Sections de réserve territoriale (SRT), ont dû accroître le nombre de patrouilles.

En matière judiciaire, l'année 2024 a notamment été marquée par des opérations « coup de poing », baptisées « Place nette », contre la délinquance. Mises en place au cours du dernier trimestre 2023,  et poursuivies au format XXL à compter de mars 2024, elles ont permis de démanteler de nombreux réseaux criminels. Tout au long de l’année, les enquêtes conduites par les unités de gendarmerie ont également donné lieu à de nombreuses opérations judiciaires fructueuses, permettant de mettre un terme à de multiples agissements criminels en matière d’atteintes aux personnes, d’atteintes aux biens, de trafics de stupéfiants, etc., On peut notamment citer les récentes saisies de cocaïne effectuées par la gendarmerie en Polynésie française (524 kg le 24 décembre), et plus récemment dans le port du Havre (plus de deux tonnes le 30 décembre).
La lutte contre la criminalité organisée s’est également jouée dans le monde cyber, avec là encore de beaux résultats à la clé, à l’instar du démantèlement de la messagerie cryptée « GHOST », fruit d’une enquête au long cours dans laquelle les gendarmes de l’Unité nationale cyber (UNCyber) et du Commandement du ministère de l’Intérieur dans le cyberespace (COMCYBER-MI) ont joué un rôle prépondérant.

Un renforcement de la coopération internationale

Dans la continuité de son engagement sur le territoire national, la gendarmerie développe également son action à l'échelle européenne et extra-européenne, afin de contrer les menaces pesant sur la sécurité intérieure du pays, telles que le terrorisme, la criminalité organisée, la cybercriminalité ou encore l'immigration irrégulière. À cette fin, en 2024, l’Institution n’a cessé de renforcer ses actions de coopération bilatérale et multilatérale. Au sein de l’espace européen, la gendarmerie nationale a également pris la présidence de la FIEP en octobre 2024, succédant ainsi à l’Italie. Pour ce nouveau cycle de réflexion, la France a choisi comme thème « l’impact et les enjeux de l’intelligence artificielle ». La première commission, axée sur le volet ressources humaines, s’est déroulée au Chili mi-décembre. Lors des échanges, l’Institution a pu partager son retour d’expérience et ses recherches en la matière. Trois autres commissions se dérouleront sous le mandat de la France.

La Gendarmerie nationale est également fortement impliquée dans l’action de la Force de gendarmerie européenne (FGE). En février, le commandant de la FGE était reçu à la DGGN, afin d’exposer les pistes de montée en puissance de cette dernière. La rencontre illustre l’engagement de la gendarmerie nationale aux côtés des autres forces de polices européennes à statut militaire. Lors du Comité interministériel de haut niveau (CIMIN) de la FGE, qui s’est tenu à Madrid du 27 au 28 novembre 2024, la gendarmerie nationale a également présenté des pistes pour maximiser le potentiel de cette force.

Deux drapeaux
© CGMEX

Sur le plan judiciaire international, la gendarmerie a notamment poursuivi son travail au sein d’Europol en continuant d’envoyer des experts et des analystes nationaux à La Haye.
À l’occasion des Jeux Olympiques de Paris 2024, la gendarmerie a également contribué à la mise en œuvre d’une action de coopération internationale sans précédent, impliquant les forces de sécurité intérieure de 44 pays, sous le pilotage de la Direction de la coopération internationale de sécurité (DCIS).
Toujours en matière de coopération internationale sur le territoire national, la gendarmerie nationale a assuré l'escorte de la 3e brigade de la 1re division blindée américaine du 9 au 26 novembre 2024. Cette mission d'envergure, qui a impliqué 530 militaires, dont une majorité de gendarmes départementaux, a concerné une large partie du territoire, allant du Pays basque au Bas-Rhin.

La gendarmerie a également renforcé sa coopération avec différentes institutions sur le territoire national, dont les armées, avec lesquelles des formations et des exercices conjoints sont régulièrement organisés, afin de renforcer l’interopérabilité des forces, mais aussi de renforcer la rusticité et la militarité des gendarmes. Le 18 juin 2024, lors du salon international Eurosatory, le major général de la gendarmerie nationale et le major général de l’armée de Terre ont ainsi signé le renouvellement du protocole triennal de coopération entre les deux institutions. Ce protocole facilite ainsi l’interopérabilité dans des domaines aussi variés que les ressources humaines, les qualifications individuelles et collectives, la préparation opérationnelle des unités et les partenariats. Des actions ont notamment été identifiées pour permettre le durcissement de la formation des gendarmes et celle des télé-pilotes de drones.

Se réinventer

Marquée par l'arrivée d'un nouveau ministre et d'un nouveau directeur général, ainsi que par la création de nouvelles brigades, 2024 a été une année de changements pour la gendarmerie. Tout d’abord, au cœur des territoires, le plan 200 brigades annoncé par le président de la République à la fin de l'année 2023 a été amorcé, avec la création de 80 nouvelles brigades mobiles et fixes, dont huit en outre-mer. Ces créations devraient se poursuivre en 2025. Autre programme, amorcé en 2023 et lancé en 2024 : celui des Centaures. Ces véhicules blindés polyvalents, qui ont montré leur utilité lors des crises en Outre-mer, notamment à Mayotte pour le déblaiement des axes, ont tous été réceptionnés par la gendarmerie en 2024 et la quasi-totalité d’entre eux a été livrée aux unités. 

Ensuite, 2024 marque un changement dans l’architecture même de l’Institution, avec la nomination du général d’armée Hubert Bonneau à la tête de la gendarmerie nationale le 4 novembre, à la suite de l’admission en 2e section du général d’armée Christian Rodriguez. Le 14 novembre, le nouveau DGGN livrait sa feuille de route, basée sur deux lignes d’opération pragmatiques, déclinées en plusieurs plans d’action. La première, qui vise à avoir des gendarmes bien commandés et bien formés, en mesure de faire face à tous types d’événements, en toutes circonstances et en tous lieux, implique de relever plusieurs enjeux : celui du recrutement et de la fidélisation, et celui de la formation et de l’aguerrissement, à travers notamment le durcissement de la formation initiale et continue et le renforcement de la formation à l’exercice du commandement. La seconde ligne d’opération tend vers une action plus efficace de la lutte contre la délinquance et l’insécurité, en mobilisant tous les leviers. Là aussi, cela appelle à relever plusieurs enjeux, à savoir le renforcement de la présence de voie publique, une couverture territoriale renforcée, une meilleure performance et productivité, une police judiciaire à la hauteur des nouveaux défis, le renforcement de l’approche partenariale, ainsi que l’enjeu de l’Outre-Mer. Chacun de ces points devant faire l’objet d’un plan d’action propre.
Autre petite révolution de la rentrée de septembre : l’École des officiers de la gendarmerie nationale (EOGN), créée sous cette appellation en 1918, est devenue l'Académie militaire de la gendarmerie nationale (AMGN). La nouvelle organisation vise à apporter davantage de cohérence au parcours de formation des officiers, mais aussi à valoriser le « continuum de sécurité ».

La main d'un colonel tenant un téléphone présentant l'innovation.
© GEND/SIRPA/GND R. CULPIN

Pour finir, en gendarmerie, l'évolution passe aussi par l’innovation, inscrite au cœur de son ADN et de celui de ses personnels. Cet esprit d’innovation s’est traduit cette année encore par de nombreux projets, dont certains ont été récompensés en interne, à l’occasion des prix de l’innovation et de la prévention décernés en novembre dernier, mais également à de nombreuses reprises en externe.

Parmi les grandes avancées de 2024, on retiendra particulièrement : NéoDK (un nouveau mode de capture des empreintes digitales et palmaires, ainsi que des clichés anthropométriques sur le téléphone Néo), ExOM (un système d’exosquelette-armure unifié permettant de porter mieux et plus longtemps les équipements d’intervention), ORYX (une plateforme d’emploi destinée à accompagner les conjoints de militaires lors des mobilités) ou encore ODIP (un projet d’assistance aux enquêteurs en matière de détection d’images pédopornographiques)…

Soutenir et se souvenir

Si 2024 a été une année riche en événements et intense en engagements opérationnels, en métropole, en outre-mer et à l’étranger, elle a malheureusement été marquée par le décès de 12 camarades dans l’exercice de leurs fonctions. 9995 gendarmes ont par ailleurs été blessés en service, dont 5103 lors d’une mission opérationnelle. L’accompagnement des familles des gendarmes décédés ainsi que celui des gendarmes blessés est au cœur de l’action de la Sous-direction de l’accompagnement du personnel (SDAP). Avec l’appui de nombreux partenaires, comme l’association des Phénix de la gendarmerie et la Fondation Maison de la Gendarmerie, des stages de reconstruction des blessés par le sport et d’accompagnement des familles ont ainsi été mis en place, venant compléter ceux déjà existants. Lors de l’édition 2024 du Tour de France, douze militaires blessés de la gendarmerie ont également ouvert la 8e étape. Et le 19 novembre dernier, le premier monument national en hommage aux blessés de la gendarmerie a été inauguré à l’école de gendarmerie de Dijon. Au sein des unités, des courses et des événements caritatifs ont été régulièrement organisés pour récolter des fonds au profit des Phénix ou d’autres causes plus spécifiques. Un soutien aux militaires blessés que le directeur général de la gendarmerie a renouvelé à l’occasion de la journée des Phénix qui s’est déroulée le 3 décembre 2024.

une personne en fauteuil en train de parler avec le DGGN.
© SIRPA-G - BRC J. Perrier


En gendarmerie, on se soutient et on se souvient. 2024 a ainsi permis de célébrer trois grands anniversaires : les 60 ans de la Gendarmerie de la sécurité des armements nucléaires (GSAN), les 50 ans du GIGN et les 30 ans de l’assaut de Marignane, un événement majeur qui a marqué un tournant en matière d’intervention spécialisée.
Tous ces moments marquants ont ainsi nourri une histoire qui ne cesse de s’écrire, celle d’une institution en constante évolution. Et si 2024 a été l’année des grands événements, 2025 sera sans nul doute celle de nouveaux défis, tournés vers le renforcement de la formation et de la rusticité, l’intensification de la lutte contre toutes les formes de criminalités et toujours plus d’innovations, avec pour seul et même objectif, l’engagement au profit de la population et de sa sécurité.

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