Mardi 17 novembre, à la prison de Clairvaux, le GIGN est engagé sur une prise d'otage. Les négociateurs réussissent à faire libérer le gardien pénitentiaire et à la reddition du ravisseur.
Mardi 17 novembre, vers 13h15, un détenu du centre pénitentiaire de Clairvaux, dans l'Aude, retient en otage un surveillant, après avoir effectué une tentative d'évasion ratée dans les ateliers de la prison. L'homme particulièrement dangereux et armé, s'isole avec son otage, dans sa cellule, au premier étage du bâtiment.
Une cellule de crise est immédiatement mise en place. Les unités de gendarmerie de Bar-sur-Aube sont mobilisées, ainsi que les ERIS (équipes régionales d'intervention et de sécurité de l'administration pénitentiaire) de Dijon. 25 gendarmes du Groupe d'Intervention de la Gendarmerie Nationale se rendent à la centrale.
Les négociateurs du GIGN réussissent rapidement à faire entendre raison au ravisseur. Dans un premier temps, l'otage est libéré, puis le détenu accepte de se rendre.
L'homme a été aussitôt placé en garde à vue par les gendarmes de la section des recherches de Reims, chargés de l'enquête.
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