Attaques terroristes de janvier 2015 – épisode 2/2 : les facteurs de réussite de l’opération et les enseignements de la crise
- Par le commandant Céline Morin
- Publié le 09 janvier 2025
La traque des frères Kouachi, auteurs de l’attentat contre la rédaction de Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, et leur neutralisation deux jours plus tard, ont montré la robustesse du modèle gendarmerie, à travers la capacité de mobilisation et de montée en puissance de l’ensemble de ses moyens. Cette opération s’est également appuyée sur une coordination exemplaire avec les différents acteurs impliqués, dont la police nationale. Au lendemain des attentats, une réflexion s’est ouverte pour tendre vers encore plus d’efficacité face à la menace terroriste. Elle a abouti à la mise en œuvre d’un nouveau schéma national d’intervention au printemps 2016, ainsi qu’à la densification de la chaîne d’intervention de la gendarmerie. Explications.
Le 7 janvier 2015, deux jihadistes lourdement armés se revendiquant d’Al-Qaïda au Yémen abattent douze personnes, dont deux policiers, dans les locaux de Charlie Hebdo et dans la rue jouxtant ces derniers. Deux jours plus tard, tandis que les deux terroristes sont retranchés avec un otage potentiel dans une imprimerie en Seine-et-Marne, un troisième jihadiste se revendiquant de l’État islamique attaque le magasin Hyper Cacher de la porte de Vincennes et prend en otage ses clients, après avoir tué une policière municipale la veille à Montrouge et blessé un agent de voirie. Le 9 janvier, en fin d’après-midi, l’ensemble des otages sont libérés et les trois terroristes sont neutralisés.
La réussite des opérations menées par la gendarmerie tient à plusieurs facteurs. Tout d’abord, à la suite des événements de Bombay et d’In Anemas, le GIGN, fidèle à sa culture de l’anticipation, avait déjà mis en place, sous l’impulsion du général Thierry Orosco, patron du GIGN de 2011 à 2014, une structure de réflexion portant sur les modes d'action de l'adversaire.
« Cette démarche nous avait permis d’établir que les actions des terroristes étaient relativement normées. Dans les publications islamistes, comme celles d'Al-Qaïda, il est en effet expliqué au combattant comment agir, de la phase de tuerie, en passant par celle de retranchement pour porter le message, jusqu’à cette phase, non pas de suicide, mais d’affrontement pour emporter avec lui un maximum de mécréants et mourir en martyr. Le GIGN avait d’ailleurs eu de nombreux débriefings avec les forces impliquées dans les opérations de contre-terrorisme menées en Inde, au Kenya et en Algérie, expose le général d’armée Hubert Bonneau, Directeur général de la Gendarmerie nationale et commandant du GIGN de 2014 à 2017. C'est d’ailleurs, entre autres, ce qui fait la force du GIGN : le retour d'expérience et les échanges avec les unités étrangères. Je dirais donc que nous nous étions plutôt bien préparés à l’époque pour mener ce genre d'opération. Mais nous n’avions pas encore mené le concept jusqu'au bout concernant les primo-intervenants, la réaction immédiate et l'arrivée du GIGN. »
Génération de force, montée en puissance rapide, coordination et coopération des acteurs impliqués
Si l’assaut donné par le GIGN, et celui quasi-simultané du RAID, vécus en direct sur les chaînes d’information, ont marqué les esprits, cette crise doit également sa résolution à la capacité de mobilisation et de montée en puissance rapides de l'ensemble des capacités opérationnelles de la gendarmerie au cours des heures et des jours précédant la phase finale.
Pendant les deux jours de traque, jusqu’à l’intervention du GIGN, tous les militaires des Groupements de gendarmerie départementale (GGD) de l'Aisne (02), de l'Oise (60) et de la Seine-et-Marne (77) ont en effet été employés sur des missions spécifiques. Les unités territoriales ont assuré le recueil, la transmission, la vérification et l'utilisation des renseignements recueillis. La gendarmerie départementale, la gendarmerie mobile et la garde républicaine ont assuré l'occupation du terrain et le contrôle de zone, avec l’appui de nombreux moyens spéciaux, à l’instar des forces aériennes, avant d’assurer le bouclage du périmètre de l’imprimerie et le confinement de la population.
« La génération de forces et cette capacité de monter en puissance rapidement sur le terrain grâce à nos unités territoriales, dans le cadre de la gestion de crise, sont véritablement notre marque de fabrique. Lors de cette opération, la gendarmerie départementale a joué un rôle essentiel dans le contrôle de zone. Nous avons été capables de basculer immédiatement sur des missions de patrouille, de contrôle, d'interception, etc. C'est une des forces de la gendarmerie. Nous savons en outre intégrer le dispositif de la gendarmerie mobile, qui vient en complément, insiste le DGGN. Gérer des crises de cette ampleur, cela n'arrive pas tous les jours. Pour autant, c’est quelque chose que nous maîtrisons depuis longtemps en gendarmerie, probablement en raison de notre culture de l’anticipation et de notre formation militaire. Même si on ne planifie pas une opération comme celle-ci, nous savons anticiper. Une fois l'opération lancée, nous sommes ainsi capables d'être au cœur de la gestion de crise. Sur une telle opération, la coordination passe par des états-majors projetés, c’est pourquoi je souhaite d’ailleurs que tous les officiers de gendarmerie et tous les responsables soient formés à la gestion de crise et à la capacité de travailler selon les méthodes de l'OTAN, au sein d'états-majors de type otanien, avec des J1, J2, J3, J5 et J35, afin d’êtreen capacité de générer des forces, de collecter du renseignement et de planifier ainsi que de conduire des opérations. C'est une absolue nécessité. »
Attaques terroristes de janvier 2015 – épisode 1/2 : la traque et la neutralisation des terroristes
Le 7 janvier 2015, deux jihadistes lourdement armés se revendiquant d’Al-Qaïda...
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La coordination et la complémentarité entre les différents acteurs mobilisés tout au long de la crise, du plus haut niveau de l'État jusqu'aux dispositifs opérationnels de terrain, ont également été des facteurs clé de la réussite des opérations. De la cellule opérationnelle chargée de coordonner l'action de l'ensemble des unités engagées à la CIC, en passant par le P.C. activé à la DGGN et le P.C. opérationnel monté à 200 mètres de l’imprimerie, ces différentes structures ont rempli, chacune à leur niveau, un rôle essentiel dans la conception et la conduite de la manœuvre.
La collaboration entre les forces de gendarmerie et de police s’est particulièrement concrétisée dans le domaine du renseignement (entre les services territoriaux et les services d'enquête, avec le soutien des magistrats présents au P.C. opérationnel), mais également dans le cadre du dispositif de recherche, ainsi que dans celui de la préparation de l’intervention à l’imprimerie, sous la coordination opérationnelle du DGGN.
« C'est un axe sur lequel nous avions déjà commencé à travailler avec Thierry Orosco (à la tête du GIGN de 2011 à 2014, NDLR), en nous appuyant sur la complémentarité des unités lors d'opérations majeures. Nous avions par exemple travaillé avec le RAID sur des interventions dans des lieux assez symboliques, comme de grands parcs d'attractions, où il faut se répartir la zone s'il y a une nécessité d'intervenir, et donc travailler en coordination. Nous travaillons d'ailleurs sur cette interopérabilité depuis très longtemps avec la Marine nationale, notamment en matière de contre-terrorisme maritime. Le GIGN a toujours cultivé cette culture de l’ouverture et du travail en commun, souligne le général d’armée Bonneau. Ce qui était intéressant à Dammartin, c’était la plus-value, je dirais même la garantie apportée par le travail coordonné du GIGN et du RAID, côte à côte sur le terrain, lors des opérations de ratissage. Par la suite, nous avons travaillé sur des exercices et des entraînements communs avec le RAID, que ce soit dans des gares ou des centres commerciaux, afin de développer notre capacité à traiter un événement majeur qui impliquerait les deux unités d’intervention spécialisée nationales. Nous continuons d’ailleurs à travailler sur cette dynamique avec la police comme avec les armées. Aujourd'hui, il serait impensable de vouloir travailler seul. »
La coordination et la complémentarité auront également été essentielles entre la Gendarmerie départementale (G.D.) et la Gendarmerie mobile (G.M.), ainsi qu’entre les troupes au sol et les éléments aériens (qu’il s’agisse des équipages des forces aériennes de gendarmerie ou de l'armée de Terre), afin de réaliser l’occupation et le contrôle du terrain.
« Que l’on soit face à des terroristes ou face à des forcenés, comme ce fut le cas dans les Cévennes ou en Dordogne en 2021, lorsque nous menons une traque, il faut être capable de contrôler des secteurs, de recueillir des renseignements, d'animer les acteurs en présence et, à un moment donné, d'avoir les forces nécessaires pour agir dès que le ou les auteurs sont localisés, afin de les arrêter ou de les neutraliser ; et pour y parvenir, la complémentarité des différentes capacités de la gendarmerie est essentielle », juge le DGGN.
Les enseignements de cette crise : un schéma national d’intervention
« Dans la phase post-opérationnelle, le GIGN, et plus largement la gendarmerie ont entamé une réflexion sur la façon d'être plus efficaces encore en matière de contre-terrorisme. C'est ainsi qu'est apparu le besoin d'un schéma national d'intervention entre la police et la gendarmerie, ainsi que la nécessité d'avoir des forces d’intervention intermédiaire pour encaisser le choc en attendant l’arrivée du GIGN. Après ce type d’opération, on ne reste pas figé sur nos acquis, au contraire, on continue à développer notre doctrine, nos modes opératoires, nos moyens. Ce concept de retour d’expérience est lui aussi fortement ancré dans notre ADN militaire », indique-t-il.
L’attaque terroriste de janvier 2015 a ainsi ouvert la voie à l'élaboration et à la mise en œuvre, à compter d’avril 2016, d’un nouveau Schéma national d’intervention (SNI) au sein du ministère de l’Intérieur, afin de répondre aux besoins d'urgence et d'efficacité engendrés par une menace terroriste protéiforme, telle qu'une tuerie de masse et/ou planifiée, en tout point du territoire national et en outre-mer.
Pour satisfaire aux objectifs de ce nouveau dispositif, la gendarmerie a donc élaboré une nouvelle doctrine relative à sa réponse opérationnelle dans ce type de situation, en cohérence avec les dispositions du SNI. Cette doctrine s’accompagne également d’un travail de veille et d’une prospection pour anticiper tout nouveau mode d’action terroriste.
La gendarmerie a donc été amenée à repenser et à densifier son maillage territorial en matière d’intervention, notamment intermédiaire et spécialisée, de manière à pouvoir engager des renforts adaptés partout en France dans un temps réduit.
Les trois piliers du SNI
Le SNI mis en œuvre en 2016 repose en effet sur trois piliers. Le premier pilier, l’intervention élémentaire, concerne les gendarmes des brigades territoriales, qui ont pour mission de renseigner et de faire cesser la tuerie de masse en tant que primo-arrivants (échelon local le plus proche). Si la tuerie est toujours en cours et que la situation le permet, ils doivent tout mettre en œuvre pour tenter de neutraliser l’adversaire, en s’appuyant sur leur maîtrise des actes élémentaires du combattant (se déplacer, se poster et utiliser ses armes).
L'intervention intermédiaire, deuxième pilier, concerne quant à elle les 150 Psig Sabre créés par la gendarmerie en 2016, ainsi que les pelotons d’intervention des escadrons de gendarmerie mobile et les pelotons spécialisés de protection de la gendarmerie (hors centrale). Conservant leurs missions de sécurité publique en temps normal, les PSIG Sabre sont ainsi répartis de manière stratégique afin de permettre une projection rapide sur un attentat perpétré en tout point du territoire. Les militaires de ces différentes unités sont formés et équipés (protection balistique et puissance de feu augmentées) de manière à assurer la primo-intervention sur ce type de crise dans les meilleurs délais.
Enfin, l’intervention spécialisée complète le dispositif. La gendarmerie a également renforcé son maillage dans le haut du spectre, autour du GIGN central implanté à Versailles-Satory. Les PI2G (Pelotons d’Intervention 2e Génération) et les GPI (Groupes de Pelotons d’Intervention) outre-mer existants ont ainsi été rebaptisés « antennes GIGN » (AGIGN), et quatre nouvelles unités ont été créées à Nantes, Reims, Tours et Mayotte en 2016, puis une dernière à Caen en février 2021, portant aujourd’hui leur nombre à quatorze ; sept en métropole et sept en outre-mer.
Ce maillage territorial, associé à un système pyramidal d’intervention, confère ainsi à la gendarmerie une capacité de réponse rapide en cas d'attaque terroriste, partout sur le territoire.
Une procédure d’urgence absolue
Le SNI a également introduit une Procédure d’urgence absolue (PUA) qui prévoit, en cas de situation de gravité extrême, d'engager la force de sécurité intérieure la plus proche, depuis l’échelon de proximité jusqu’aux forces spécialisées, en s’affranchissant des zones de compétence police et gendarmerie.
« Concrètement, selon le SNI, une antenne du GIGN implantée sur une zone de compétence de la police, par exemple à Nantes, pourra intervenir sous le signe de l’urgence, y compris en zone de compétence de la police, en attendant l’arrivée du RAID, sous le contrôle du préfet et en liaison avec le responsable de la police au niveau local. Le RAID reprendra ensuite la main, illustre le DGGN. Le SNI introduit ainsi le principe d’unité menante et d’unité concourante, qui s’appuie sur la complémentarité et la coordination des unités. »
Cette PUA et la prise en compte de « la guerre du temps » qui s’impose en cas d’attaque terroriste constituent les points clés du changement de paradigme survenu après les attentats de 2015.
Concernant les unités d’intervention spécialisée, le SNI instaure également une procédure dite du « concours capacitaire », qui permet la mise à disposition des capacités entre les différentes unités de la gendarmerie (GIGN) et de la police (RAID et BRI).
Il définit également les modalités de désignation du Commandant des opérations d’intervention spécialisée (COIS), chef du détachement de l’unité d’intervention engagée, et du coordinateur des opérations d’intervention spécialisée (coordinateur à l’échelon national), qui dépend de la zone de compétence où a lieu l’attaque.
2025 : une menace terroriste forte
L’actualité récente, marquée par l’attentat de Magdebourg, en Allemagne, qui a fait six morts et 299 blessés le 20 décembre 2024, et celui de La Nouvelle Orléans, aux États-Unis, qui a fait 14 morts et 36 blessés du 1er janvier 2025, ne laisse aucune place au doute : la menace terroriste ne faiblit pas, et notre territoire n’y échappe pas, comme l’a rappelé en début de semaine dans les médias, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Ce dernier a également adressé un télégramme aux préfets, ainsi qu’aux directeurs généraux de la gendarmerie nationale et de la police nationale en début de semaine, pour leur demander de conserver « une vigilance maximale et de renforcer les dispositifs de sécurité sur l’ensemble du territoire à l’occasion des grands rassemblements. » Le niveau de la menace terroriste en France est en effet au niveau maximal « urgence attentat » depuis l'attentat à Moscou en mars 2024.
« La menace est constante. Quant aux modes d'action terroristes, ils n’ont pas varié. L’objectif d’une action terroriste, quelle que soit sa forme, est de créer un choc, une sidération. Il peut s’agir d'actions de tuerie planifiées orchestrées par des commandos, d’une voiture bélier qui fonce dans la foule, d’un individu qui poignarde des passants… On vient encore de le voir aux États-Unis et en Allemagne, l'acte terroriste est toujours possible », confirme le DGGN, avant de revenir sur l’origine de la menace : « Ce qui est inquiétant, ce sont les possibilités de radicalisation sur le territoire national, et j'oserais même dire d'autoradicalisation par les réseaux sociaux, à l’origine d'actes plutôt isolés, qui viennent nourrir la menace endogène. Nous sommes aussi confrontés à un risque important en matière de menace exogène, car les mouvements comme Al-Qaïda ou l’État islamique ne sont pas morts. Il n’y a qu’à voir ce qu’il se passe en Afghanistan depuis le retrait des États-Unis et de la France. Ce pays représente de nouveau une base pour le terrorisme international. On peut nourrir les mêmes préoccupations concernant la Syrie, qui a constitué un fief d'implantation majeur pour l'État islamique. Nous devons donc continuer à nous mobiliser à tous les niveaux. Cela nécessite de s’appuyer sur nos services de renseignement, mais aussi que nous soyons capables de détecter les signaux, même faibles, sur le terrain. C’est un point de vigilance majeure. »
Une adaptation constante à la menace
Face à cette menace protéiforme, la gendarmerie a continué de faire évoluer son dispositif depuis 2015, structurellement, mais également en matière de formation, d’équipement, etc. Par exemple, la réforme du GIGN de 2021 a vu l’intégration et la professionnalisation des quatorze antennes GIGN, ainsi que celles des TEASS (Techniciens en Escorte d'Autorité et Sécurisation de Site), rebaptisés PHP (Protection de Haute Personnalité). « Aujourd'hui, les antennes GIGN sont placées directement sous le commandement du GIGN. Elles bénéficient par conséquent de formations, d'équipements et d'une doctrine d'emploi uniformisée », complète le général d’armée Bonneau.
Désormais, le GIGN 3.0 est ainsi composé d’une force de 1 000 femmes et hommes, qui met son expertise dans le domaine de l’intervention spécialisée au sens large, au service du terrain, et plus largement au service de la France, sur le territoire métropolitain, en outre-mer, mais aussi à l’étranger. Une évolution dans la forme, mais aussi dans le fond, avec une adaptation continuelle aux mutations de la menace terroriste, raison d’être de son existence, mais aussi au durcissement de la criminalité organisée, contre laquelle il lutte aux côtés des unités de recherches.
Toujours dans l’esprit de densifier son maillage territorial en matière d’intervention, après avoir créé les PSIG Sabre, la gendarmerie a procédé à la professionnalisation et au renforcement de tous les PSIG, dont le niveau et l’emploi ont été uniformisés au niveau national.
« Il est nécessaire de s’adapter en permanence. Et c’est ce que nous faisons. Nous avons ainsi densifié tout notre dispositif, et je pense qu’il est aujourd’hui suffisamment robuste, notamment en ce qui concerne la réponse que l'on peut apporter à ce type d'événement, conclut le général d’armée Hubert Bonneau. Toutefois, comme je l’ai dit précédemment, nous devons rester vigilants s’agissant des signaux faibles et des radicalités montantes dans les territoires. La gendarmerie, je le rappelle, c'est la force des territoires. Nous devons comprendre ce qui s'y passe et prendre toute notre part dans cette mission de détection. Dans ce domaine, la coordination et la coopération renforcées avec l'ensemble de nos partenaires, en premier lieu avec les services de renseignement, sont absolument essentielles. »
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