Une cérémonie en deux temps

Tout d’abord la cérémonie du souvenir au cimetière de Pontoise sous la présidence de Monsieur Philippe COURT,  préfet du Val-d’Oise, en présence

• du lieutenant-colonel Laurent POINTEREAU, délégué militaire départemental
•  du général de Gilles MARTIN, commandant le pôle judiciaire de la Gendarmerie nationale et la place militaire de Pontoise
• du colonel Quentin PETIT, commandant le Groupement de Gendarmerie Départementale
• de contrôleur-général Frédéric DOIDY directeur départemental de la sécurité publique,
• du contrôleur-général Laurent CHAVILLON , directeur départemental du Service d’Incendie et de Secours

      
Cette séquence est articulée par le dépôt des gerbes et le ravivage de la flamme du centenaire par les élèves de la classe défense du collège Chabanne de Pontoise.

Puis, la commémoration de la victoire et de la paix, sur la place Van Gogh toujours présidée par monsieur  Philippe COURT, préfet du Val-d’Oise, accompagné du général de division Gilles MARTIN, commandant le Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale et la place d’armes de Pontoise.
Aux ordres du Colonel Thibaud Fritz, chef de la division criminalistique identification humaine de l’Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale, les troupes était constituées :

• de la Musique départementale des sapeurs-pompiers du Val-d’Oise ;
• du Drapeau du Pôle Judiciaire de la Gendarmerie Nationale et sa Garde ;
• d’un peloton de gendarmes du Pôle Judiciaire de la Gendarmerie Nationale ;
• d’un peloton de policiers de la Direction Départementale de la Sécurité Publique du Val-d’Oise ;
• d’un peloton de sapeurs-pompier de la Direction départementale du Service d’Incendie et de Secours du Val d’Oise ;
• d’un peloton de policiers municipaux de la commune de Pontoise ;
• d’un peloton de cadets relevant de la Protection civile du Val-d’Oise.

 Pour terminer, le général de division Gilles MARTIN commandant la place d’armes de Pontoise a rejoint  Monsieur Philippe COURT, préfet du Val-d’Oise pour remettre les médailles d’or de la défense nationale avec étoile de bronze  aux gendarmes du PJGN.
La séquence se termine avec les honneurs rendus au drapeau du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale.

Un peu d’histoire…

De 1914 à 1918, plus de 70 pays ont participé à la guerre, mobilisant 70 millions de soldats dont 10 millions sont morts.
La France souhaite perpétuer la mémoire de ce conflit et rend hommage, chaque 11 novembre, à ses soldats morts pour la France. Si la date du 11 novembre est aujourd’hui devenue un jour de mémoire, c’est aussi la mémoire d’un jour, celui de l’Armistice de 1918 qui mit fin aux combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918).
L'idée d'honorer un soldat inconnu est lancée le 20 novembre 1916, au moment de la bataille de Verdun. Le 8 novembre 1920, une loi est votée pour qu'un hommage soit rendu aux restes d'un soldat non identifié « mort au champ d'honneur ». C’est le point de départ d’une célébration de la figure du Soldat inconnu qui sera rendue chaque année, le 11 novembre, à l’échelle nationale.