Les Pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG)
- Par la rédaction du site Gendarmerie nationale
- Publié le 24 juin 2022, mis à jour le 03 octobre 2022
Les Pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) luttent contre la délinquance de voie publique. Ils agissent de manière préventive et dissuasive, dans les secteurs et les périodes les plus sensibles, notamment de nuit.
Les PSIG : de quoi parle-t-on ?
Les PSIG exercent une surveillance orientée vers les zones considérées comme sensibles et vers les lieux où est constatée une multiplication de faits délictueux.
Quelles sont leurs missions ?
Dans le cadre de la sécurité publique générale en complément de l'action des unités territoriales, les Pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) exercent des missions :
- De renforcement de la surveillance des zones sensibles, prioritairement la nuit et dans un but à la fois préventif et dissuasif ;
- D’intervention en soutien d'unités confrontées à une situation qui nécessite l'engagement de moyens plus substantiels (trouble à l'ordre public, rixe, opération de protection et de secours, etc.) ;
- D’implication dans l'exécution de la mission de police judiciaire ;
- De participation à la mission de renseignement, en s'appuyant sur la capacité à couvrir le terrain et en se constituant un réseau de correspondants territoriaux, notamment parmi les professionnels de la nuit.
Quels sont ses acteurs ?
On compte 395 PSIG implantés en métropole et outre-mer. Chaque PSIG compte entre 12 et 40 gendarmes et est commandé par un sous-officier (au grade d’adjudant-chef ou de major) ou d’un officier subalterne (au grade de lieutenant).
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