Attaque terroriste : gendarmes et services de secours s’entraînent sur le plateau de Saclay
- Par le commandant Céline Morin
- Publié le 27 février 2025

Un exercice de simulation d'attaque terroriste s’est déroulé dernièrement sur le site de la bibliothèque universitaire Lumen, à Paris-Saclay, dans le but de tester la réaction du personnel de l'université et d'entraîner les forces de sécurité intérieure et de secours face à une tuerie de masse et une prise d'otages. L’ensemble des moyens de la gendarmerie a été déployé, des premiers intervenants de la brigade locale aux spécialistes du GIGN, en passant par les militaires du PSIG Sabre de Palaiseau et les équipages des Centaure.
C’est une fin de journée apparemment comme les autres sur le plateau de Saclay, au sud de Paris, dans l’Essonne. En ce début de semaine du mois de février, on y croise le fourmillement habituel des étudiants et des salariés des nombreuses universités et entreprises implantées sur le site. Pourtant, ce soir-là, on remarque également un déploiement inhabituel de gendarmerie. La raison ? Un exercice grandeur nature impliquant les forces de sécurité intérieure et de secours va s’y dérouler. Le scénario ? Une tuerie planifiée dans la bibliothèque Lumen, un bâtiment qui abrite toutes les bibliothèques des universités du plateau, à l’exception de Polytechnique.
L’alerte est donnée par le 114 et le 17
Il est 19 heures quand l'exercice débute. À l’exception de la présence de nombreux observateurs issus de la Préfecture, des universités et de la police nationale sur le parvis de l’école centrale, ainsi que d’un point de regroupement des moyens à proximité, permettant de jouer les délais d’intervention sans prendre de risques sur la route, tout va dès lors se dérouler dans les conditions réelles.
Un homme pénètre dans le bâtiment Lumen. Il ne tire pas immédiatement. Dans un premier temps, il se balade, adoptant un comportement étrange. À 19 h 17, les premières alertes commencent à remonter au 114 (numéro d’urgence pour les sourds et malentendants), joué pour l’occasion par un gendarme de la compagnie de Palaiseau, ainsi qu'au Centre d’opérations et de renseignements de la gendarmerie (CORG).
À 19 h 30, le CORG informe toutes les unités qu’une attaque terroriste est en cours. Les deux PAM (Premiers À Marcher) de la brigade de Gif-sur-Yvette se rendent immédiatement sur place pour confirmer ou infirmer la situation, compte tenu de la multiplication des alertes tout au long de l'année. Dans le même temps, le Peloton de surveillance et d'intervention de la Gendarmerie (PSIG) Sabre de Palaiseau est engagé. À 19 h 35, l'alerte est donnée à l'officier de permanence de la Compagnie de gendarmerie départementale (CGD) de Palaiseau, puis à celui du Groupement de gendarmerie départementale de l'Essonne (GGD 91). À 19 h 37, alors que l’attaque terroriste est désormais confirmée par les PAM, le Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) est alerté par le commandant de la compagnie via le groupement. Vingt minutes après les premiers appels, tous les échelons de commandement sont informés et les unités sont engagées.
Sur place, les deux militaires de Gif-sur-Yvette, conformément à la circulaire 78000, pénètrent dans le bâtiment pour confirmer l'information. Au cours de leur progression, ils sont la cible de tirs et neutralisent rapidement un terroriste porteur d’une ceinture d’explosifs dans le hall de l'édifice. Il est 19 h 42. Mais la tuerie continue. Le terroriste n’est pas seul. Le harpon du PSIG Sabre, composé de trois militaires lourdement équipés, prend le relais des deux brigadiers et commence à progresser dans le bâtiment, très vite rejoint par le reste de l’unité : leur mission est d'avancer et de stopper la tuerie en cours. Ils peuvent ensuite boucler la zone et geler le site pour empêcher la fuite des terroristes, tout en attendant les opérationnels de la Force d'intervention (F.I.) du GIGN.
Les secours (SDIS 91) sont engagés dès l'arrivée des premiers comptes rendus de situation. Il est alors 19 h 47. À 19 h 55, le Poste de commandement opérationnel de la gendarmerie (PCOG), abrité dans un camion remastérisé, est sur place, de même que l’officier de permanence et le commandant du GGD 91, qui revêt sa « chasuble » de Commandant des opérations de police-gendarmerie (COPG). Il sera désormais chargé de coordonner les différents moyens, en lien avec le Commandant des opérations d'intervention spécialisée (COIS) et le Commandant des opérations de secours (COS). Sur la « conf’ », les informations et les chiffres arrivent par vagues : le nombre de morts, de blessés et de terroristes, leur localisation… confirmant qu’il s’agit d’une crise haute intensité.
Le COS, joué ce soir-là par le commandant du groupement nord du SDIS 91, arrive sur site à 20 h 10. Quasiment simultanément, soit quarante minutes après avoir été activé, le GIGN arrive de Satory par la route. Tandis que les équipiers de la F.I. se préparent et que le Poste de commandement intervention spécialisée (PCIS) est rapidement monté, le COIS, en l’occurrence le commandant de la F.I., fait rapidement un point de situation avec le COPG et le COS. Ensemble, ils définissent la zone d'exclusion (où seules les forces de l’ordre sont autorisées à pénétrer), la zone contrôlée et la zone de soutien, afin de structurer dans la profondeur la réponse à la crise, que ce soit au niveau de la prise d’otages, de l'extraction des victimes et du début de l'enquête judiciaire.
Assaut délibéré du GIGN
Après que le PCIS a recueilli tous les éléments utiles auprès des gendarmes locaux, notamment sur la configuration des lieux, le GIGN déclenche un plan d’assaut délibéré. Les hommes de la section d’alerte 1 partent à l'assaut du bâtiment à bord de deux Véhicules d'intervention polyvalents de la gendarmerie (VIPG) Centaure du Groupement blindé de gendarmerie mobile (GBGM). En effet, le Lumen est un bâtiment d’architecture moderne entièrement vitré, ce qui rend son approche plus complexe et nécessite de progresser sous blindage. Une fois les militaires du GIGN déposés devant le bâtiment, les Centaure repartent chercher les pompiers du Groupe d'extraction (GREX) afin de procéder à l’extraction des premiers blessés.
Au vu de la situation présentée, on sait désormais que deux terroristes ont déjà été abattus et que trois autres se sont dispersés sur différents étages, dont l'un retient une dizaine d'otages. Ce sera l’objectif prioritaire de la force intervention. Le GIGN pénètre dans le bâtiment à 20 h 43. Au cours de leur progression, les militaires neutralisent le terroriste dissimulé au deuxième étage. Puis ils se déploient en deux groupes. À 21 h 04, les deux derniers terroristes sont neutralisés dans une intervention quasi-simultanée et les otages sont libérés. La phase de « reprise » peut alors débuter, avec la gestion des otages et des blessés, ainsi que la reconnaissance complète du bâtiment par les hommes du GIGN, appuyés par les militaires du PSIG Sabre, qui ont continué de sécuriser le site pendant toute la progression du GIGN et ont pu l’appuyer sur des missions secondaires.
Pendant toute la crise, deux membres du PSIG Sabre, spécifiquement formés, ont déjà pris en charge certains blessés dans une salle dédiée, appelée « point d'extraction des victimes », et leur ont prodigué les premiers soins en attendant leur extraction par les secouristes du SDIS par le couloir dédié, sous escorte de gendarmerie, avant d’être transportés en Centaure jusqu’au Point de rassemblement des victimes (PRV).
Un exercice souhaité par la préfecture
« Cet exercice a été souhaité par la préfète pour permettre aux forces de sécurité intérieure (police et gendarmerie) de s'entraîner à faire face à une attaque terroriste. C’est un risque prégnant auquel nous devons nous préparer, surtout en ce qui concerne des situations impliquant potentiellement de multiples victimes, explique le lieutenant-colonel Robin Guichard, commandant la CGD de Palaiseau et directeur de l’exercice. Le plateau de Saclay abrite en effet des écoles et des universités de premier plan ainsi que des sites sensibles comme le CEA et la DGA, pour lesquels nous devons assurer la sécurité en lien avec nos différents partenaires. En outre, dans un futur proche, la ligne 18 transformera encore davantage les flux et la démographie du plateau. Quant au site du Lumen, avec son architecture unique conçue dans une volonté d’ouverture, il se prêtait, à mon sens, tout particulièrement à l’exercice. »
Trois objectifs en un
Le premier objectif, très technique, consiste à entraîner le PSIG Sabre et le GIGN sur le plan opérationnel afin de mettre fin à la tuerie et de neutraliser la prise d'otages.
Le deuxième objectif, qui revêt une importance particulière pour les chefs locaux, concerne la montée en puissance des moyens : « Il s’agit de voir en combien de temps la montée en puissance locale se met en place. D’abord au niveau de la compagnie, au cours de la première heure et demie, avec pour objectif “d’arrêter l'hémorragie” et de permettre le bouclage de la zone et son évacuation, détaille le LCL Guichard. Puis, au niveau du groupement, dont le commandant coordonne l’ensemble des moyens en présence et les différents groupes de force mis en place avant son arrivée pour gérer l’intervention, le bouclage ou encore la transmission. La communication et l’interopérabilité sonten effet essentielles à la manœuvre. Cet exercice nous a d’ailleurs permis de tester le dispositif de communication Team on Mission. La finalité de tout ça est de permettre au GIGN, puis aux groupes d'extraction du SDIS de dérouler leur intervention dans les meilleures conditions. »
Le troisième objectif est de permettre à l’ensemble des partenaires de travailler ensemble. « Nous avons d’ailleurs pu constater à cette occasion que les Centaures du GBGM sont parfaitement adaptés à la mission », note l’officier.
Un exercice en trois temps
Conçu en lien avec les différents acteurs et partenaires, l’exercice s’est joué en quatre temps. Le premier, voulu par l’université, a permis de tester la réaction de son personnel en pareille situation et donc d’éprouver la formation interne dispensée à l'ensemble des employés et des élèves : sont-ils capables de donner l’alerte ? Comment ? Est-ce qu'ils évacuent ? Se cachent-ils ? Le deuxième intérêt était d'observer comment ils prenaient contact avec la gendarmerie et les forces de secours. Communiquent-ils avec le 114, le 17 ou le 18 ? Seize étudiants ou membres du personnel de l'université faisaient d’ailleurs partie des plastrons et une vingtaine de représentants des différentes écoles constituant l'université figuraient parmi les observateurs.
Le deuxième temps est celui de la montée en puissance de la gendarmerie, depuis l’intervention des PAM, qui confirment l’attaque terroriste, à l’intervention du PSIG Sabre qui stoppe la tuerie, jusqu’à l’intervention de l’I.S. qui neutralise la prise d’otages. « Cette montée en puissance doit se faire très rapidement, parce que les délais de route sont importants et, in fine, chaque minute peut être une minute de perdue pour les otages », souligne le LCL Guichard.
Le troisième temps concerne la montée en puissance des trois P.C. opérationnels, afin de structurer la réponse à la crise, et ce jusqu’au début de la phase judiciaire. « Sur ce type de crise, les autorités veulent très rapidement connaître le nombre de blessés et de morts. Le travail du groupe de force police judiciaire, que nous avons simulé avec deux enquêteurs de la brigade de recherches, consiste à solidifier ces chiffres et à prendre en compte les personnes impliquées mais non blessées. Toutefois, nous n’avons pas joué cette phase ; nous nous sommes limités à l'extraction des victimes jusqu’au poste médical avancé installé au rez-de-chaussée de l'école centrale. »
La cellule préparation opérationnelle du GIGN à la manœuvre
Pour préparer cet exercice, la compagnie de Palaiseau a bénéficié de l’expertise de la Cellule de préparation opérationnelle (CPO) du GIGN. « Ils nous ont guidés pas à pas tout au long de la préparation du scénario, nous ont conseillés sur le nombre de plastrons nécessaires, ainsi que sur le nombre de blessés en urgence absolue et en urgence relative, afin que l’exercice soit intéressant pour tous les acteurs », souligne le commandant de compagnie, précisant que tous les intervenants avaient découvert l’exercice comme une situation réelle.
La CPO a pour mission de concevoir des exercices pratiques pour les différentes forces du GIGN sur des thématiques proposées par leurs chefs respectifs. Toutefois, 90 % de son activité est consacrée à la force intervention. Ces dernières années, le GIGN a notamment travaillé sur les violences urbaines, les traques, ainsi que sur les Techniques d'interception de véhicule (TIV), grâce à l’emploi conjugué des hélicoptères de la gendarmerie et du Groupe interarmées d'hélicoptères (GIH).
La conception de ces exercices implique de trouver une zone favorable pour travailler en sécurité, dans l’idéal un site où « il est possible d’utiliser des explosifs sur des portes, des murs voire sur une dalle », explique FX, le chef de la CPO. Cela nécessite également de trouver des plastrons pour jouer les otages et les terroristes, le plus souvent des habitués, afin d’éviter les exagérations dans les réactions.
« Notre objectif est d’élaborer des scénarios qui font travailler toutes les spécialités du GIGN : négociateurs, dépiégeurs, spécialistes de l’explosif, tireurs,... mais aussi l’aspect médical. Nous avons un médecin et un infirmier dans chaque section d'alerte et tous les équipiers sont formés au secours au combat niveau 2. Ils sont équipés de garrots et de pansements compressifs et sont en mesure de prodiguer les premiers soins aux victimes une fois le bâtiment sécurisé », poursuit le major, qui opère dans la préparation opérationnelle depuis cinq ans, après avoir passé quinze ans au sein de la F.I.
Ces exercices peuvent être internes au Groupe, mais aussi externes, sur sollicitation de groupements ou de préfectures, à l’instar de celui organisé à la demande de la compagnie de Palaiseau. « Il n’y aurait que le GIGN, nous ne pourrions pas organiser des exercices de ce type. Nous sommes obligés d'avoir des sollicitations extérieures pour que tout le monde puisse apporter sa contribution. »
La fréquence de ces exercices, presque mensuelle, est cruciale pour maintenir les compétences et les réflexes face à des menaces potentielles. L'objectif recherché est de renforcer la réaction collective lors d’une situation d'urgence, en garantissant que tous les acteurs soient préparés et efficaces le jour où une telle intervention devient nécessaire. Pour que l'exercice soit instructif, il est nécessaire que le scénario « soit le plus proche possible des conditions réelles, avec de nombreux terroristes, de l'armement face aux forces d'intervention et un nombre important d'otages, y compris des blessés. Sur celui-ci, nous avons redimensionné le scénario par rapport à ce qui était initialement prévu, en mettant davantage d’otages et en sollicitant les Centaure pour jouer l'approche sous blindage et les extractions de blessés. Nous avons également simulé des pièges explosifs posés par les terroristes. Cela permet aux intervenants d'analyser la situation, de rendre compte et de manœuvrer pour opérer un contournement. Nous avons pu faire travailler les chiens explo, car nous utilisons de la matière réelle, avant de déclencher un binôme de dépiégeurs. Comme nous faisons cela régulièrement, nous apportons toute notre expérience à l'exercice, ce qui finit par dimensionner l'ensemble de la manœuvre. »
« La préparation, le scénario et l’animation représentent le plus gros du travail. Pour cet exercice, nous avons organisé trois réunions préparatoires afin de tout caler. Nous avons d’abord pris en compte les caractéristiques du bâtiment afin de déterminer le nombre idéal d’otages. Nous avons ensuite fait des demandes en ce sens. Il y avait donc des élèves de l'école de gendarmerie de Fontainebleau ainsi que des gendarmes mobiles d'Île-de-France. En général, on fait aussi appel à des gens qui travaillent sur place, en l’occurrence une quinzaine de personnes de l'université, poursuit FX. Nous avons aussi proposé un certain nombre d’urgences relatives et absolues en lien avec nos médecins de l'antenne médicale de Satory. Nous pouvons mettre à disposition des fiches blessés toutes prêtes que les plastrons portent sur eux. À Saclay, les pompiers ont grimé les victimes pour se rapprocher davantage de la réalité. Cela permet d'identifier une blessure et d'effectuer les premiers gestes médicaux. »
Un scénario évolutif
Afin de maintenir le réalisme de l’exercice et sa plus-value, les scénarios sont exécutés sans que les hommes du GIGN ni les autres gendarmes impliqués n’aient connaissance des détails. « Le jour J, la section d’alerte sait qu'il y a un exercice mais elle n’a aucun élément concernant le lieu ou le scénario, précise le chef de la CPO. Ils savent juste qu’ils vont être déclenchés pour un exercice, puis on joue l’appel en réel à l'officier d'alerte 1. Avec son adjoint et les principaux chefs de la section, il fait une évaluation de la mission, puis sa présentation àla section, qui ensuite se projette. Tout va très vite »
Pendant l’exercice, la CPO, tel un chef d'orchestre, adapte le scénario en temps réel en fonction des actions des intervenants. « Nous communiquons par radio avec « nos » terroristes et nous les pilotons pour provoquer des réactions chez les forces de sécurité. Nous essayons de mettre une certaine pression, puis de la relâcher, pour voir comment ils réagissent. Le scénario initial évolue donc en fonction de tout ça. Parfois, cela ne se passe pas comme prévu, mais il faut laisser les gens travailler, on débriefera ensuite. »
L’objectif est non seulement d'entraîner les équipiers du GIGN, mais aussi de créer des réflexes chez l'ensemble des acteurs. « Le but de ces exercices interunités et interservices est de travailler avec la gendarmerie départementale et les pompiers afin d’être prêts le jour où cela arrive. Cela nous permet par exemple de voir comment nos moyens de communication s’interconnectent. L’autre intérêt est aussi de voir ce qui ne va pas. »
Les exercices sont en effet conçus pour identifier les points faibles. Un débriefing à chaud est donc essentiel à l’issue, tant en interne au Groupe qu’avec les différents acteurs, afin d’identifier les axes d'amélioration, notamment en matière de communication et de coordination entre les unités, garantissant ainsi une réponse plus efficace en cas de crise réelle.
L'heure des RETEX
Cet exercice donnera lieu à un important Retour d’expérience (RETEX) entre les différents partenaires afin d'en tirer les leçons. « À mon sens, le RETEX est le plus important dans ce type d’exercice. Ce qui a bien fonctionné fonctionnera demain. Il faut surtout déterminer ce qui nous a manqué, ce qui n'a pas marché, se demander pourquoi et proposer des améliorations, conclut le LCL Guichard. Sur ce premier exercice, nous n’avons pas fait travailler les deux forces d'intervention spécialisées, à savoir le GIGN et le RAID, afin de ne pas ajouter à la complexité. Toutefois, la police nationale était associée en qualité d’observateur, notamment par l'intermédiaire du commissaire divisionnaire de Massy, compétent sur la zone est du plateau, afin de l'associer pleinement à notre démarche si nous devions gérer une crise en commun. Le prochain objectif sera certainement d’organiser un exercice en commun au niveau préfectoral. »
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