Sous l'impulsion de la présidence turque de la FIEP, les travaux ont porté cette année sur la prévention des attaques terroristes dans les espaces publics. Ils ont été complétés, entre autres, par un séminaire portant sur l’immigration clandestine via la Méditerranée (risques et défis humanitaires), auquel a participé un commandant de groupement de la gendarmerie maritime, ainsi que par un séminaire sur la formation, où étaient représentés le commandement des écoles de la gendarmerie et le bureau formation de la direction générale.

Point marquant de ce sommet  : la FIEP a validé, à cette occasion, la suppression du caractère régional, permettant ainsi à toutes les forces d’être membres de plein droit et non plus simplement associées.

Signe de l'attractivité de cette association internationale, deux nouvelles forces ont été admises : la gendarmerie nationale du Sénégal et la garde nationale du Koweït, portant le nombre total de membres à 19.

Cette rencontre s’est conclue par la transmission de la présidence à la maréchaussée néerlandaise, laquelle animera, en 2019, les commissions orientées sur le thème  : « Les forces de type gendarmerie dans les futures missions internationales ».

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