Une journée pour célébrer et remercier les femmes, aujourd'hui engagées dans tous les métiers de la gendarmerie
La gendarmerie dispose d’un taux de féminisation supérieur à celui de l’armée de Terre (10 % en 2018) et à celui de la Marine nationale (14,5 % en 2018).
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLa présence des femmes en gendarmerie est une réalité tangible et en constante évolution.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLa gendarmerie dispose d’un taux de féminisation supérieur à celui de l’armée de Terre (10 % en 2018) et à celui de la Marine nationale (14,5 % en 2018).
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaJusqu’en 1982, les seuls militaires féminins de la gendarmerie étaient des personnels de soutien. C’est le ministre de la Défense, qui en 1982, annonça aux gendarmes français la féminisation des métiers de terrain, marquant ainsi l’ouverture du premier recrutement de sous-officier de gendarmerie aux femmes, assorti de quotas.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoDe nombreuses actions ont été conduites pour favoriser l’égalité entre les hommes et les femmes. D’ailleurs, les règles de l’avancement en gendarmerie sont similaires et tous bénéficient de la même rémunération, quel que soit leur sexe.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaJusqu’en 1982, les seuls militaires féminins de la gendarmerie étaient des personnels de soutien. C’est le ministre de la Défense, qui en 1982, annonça aux gendarmes français la féminisation des métiers de terrain, marquant ainsi l’ouverture du premier recrutement de sous-officier de gendarmerie aux femmes, assorti de quotas.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes femmes gendarmes ne souffrent d'aucune restriction quant à l'accès aux différents corps. Quatre femmes officiers commandent un groupement de gendarmerie départementale, 64 femmes officiers sont à la tête d’une compagnie de gendarmerie départementale, 248 femmes commandent une brigade de gendarmerie départementale, quatre femmes commandent un peloton de surveillance et d’intervention, 28 femmes dirigent une brigade de recherches et trois officiers féminins encadrent un escadron de gendarmerie mobile.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLa gendarmerie dispose d’un taux de féminisation supérieur à celui de l’armée de Terre (10 % en 2018) et à celui de la Marine nationale (14,5 % en 2018).
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLe mouvement de féminisation s’est ensuite accéléré en 1998 avec la suppression des quotas.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLa dernière restriction a pris fin en 2016, avec l’intégration des personnels féminins au sein de la gendarmerie mobile. Ainsi, en 2019, on dénombre 365 sous-officiers féminins servant au sein de 51 escadrons de gendarmerie mobile.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. Garcia
La gendarmerie dispose d’un taux de féminisation supérieur à celui de l’armée de Terre (10 % en 2018) et à celui de la Marine nationale (14,5 % en 2018).
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLa présence des femmes en gendarmerie est une réalité tangible et en constante évolution.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLa gendarmerie dispose d’un taux de féminisation supérieur à celui de l’armée de Terre (10 % en 2018) et à celui de la Marine nationale (14,5 % en 2018).
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaJusqu’en 1982, les seuls militaires féminins de la gendarmerie étaient des personnels de soutien. C’est le ministre de la Défense, qui en 1982, annonça aux gendarmes français la féminisation des métiers de terrain, marquant ainsi l’ouverture du premier recrutement de sous-officier de gendarmerie aux femmes, assorti de quotas.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoDe nombreuses actions ont été conduites pour favoriser l’égalité entre les hommes et les femmes. D’ailleurs, les règles de l’avancement en gendarmerie sont similaires et tous bénéficient de la même rémunération, quel que soit leur sexe.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaJusqu’en 1982, les seuls militaires féminins de la gendarmerie étaient des personnels de soutien. C’est le ministre de la Défense, qui en 1982, annonça aux gendarmes français la féminisation des métiers de terrain, marquant ainsi l’ouverture du premier recrutement de sous-officier de gendarmerie aux femmes, assorti de quotas.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes femmes gendarmes ne souffrent d'aucune restriction quant à l'accès aux différents corps. Quatre femmes officiers commandent un groupement de gendarmerie départementale, 64 femmes officiers sont à la tête d’une compagnie de gendarmerie départementale, 248 femmes commandent une brigade de gendarmerie départementale, quatre femmes commandent un peloton de surveillance et d’intervention, 28 femmes dirigent une brigade de recherches et trois officiers féminins encadrent un escadron de gendarmerie mobile.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLa gendarmerie dispose d’un taux de féminisation supérieur à celui de l’armée de Terre (10 % en 2018) et à celui de la Marine nationale (14,5 % en 2018).
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLe mouvement de féminisation s’est ensuite accéléré en 1998 avec la suppression des quotas.
© Sirpa Gend - GND F. GarciaLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLa dernière restriction a pris fin en 2016, avec l’intégration des personnels féminins au sein de la gendarmerie mobile. Ainsi, en 2019, on dénombre 365 sous-officiers féminins servant au sein de 51 escadrons de gendarmerie mobile.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes mentalités ont évolué et toutes les restrictions imposées aux femmes ont disparu au fil des années.
© SIRPAG - MAJ. F BalsamoLes femmes ont progressivement gagné leur place, y compris à des postes à technicités ou compétences particulières. Ainsi, la gendarmerie compte 28 femmes maîtres de chien, 100 techniciennes en identification criminelle, 12 femmes plongeuses, 38 motocyclistes, 99 cavalières de la garde républicaine et 16 personnels féminins sont affectés au GIGN.
© Sirpa Gend - GND F. Garcia
Commander une brigade ou une compagnie de gendarmerie, un peloton de surveillance et d’intervention ou encore un escadron de gendarmerie mobile, être maître de chien, plongeur, motocycliste, spécialiste montagne, aéronautique… Aucun statut, grade ou corps de métier n’est aujourd’hui fermé aux femmes en gendarmerie. Elles sont d’ailleurs 21 940, civiles et militaires, au sein de l’Institution, soit un taux de féminisation de 20,9 % enregistré en 2019. Mesdames les officiers, sous-officiers, personnels civils et volontaires, cette journée du 8 mars est la vôtre !