La mission et au-delà...
Tout en s’assurant du respect des mesures de confinement, les unités de gendarmerie maritime implantées sur la façade Atlantique se sont employées à distribuer leurs stocks de masques FFP2 aux personnes isolées sur les îles et pouvant être exposées au virus. Elles ont aussi proposé leur concours pour assurer des liaisons avec le continent en cas d’urgence.
© Gendarmerie maritimeParticulièrement éprouvées par la crise sanitaire, qui a accentué les difficultés préexistantes, les populations ultramarines ont pu compter sur le soutien de la gendarmerie, notamment pour l’acheminement de l’aide alimentaire dans les zones les plus reculées, que ce soit en Nouvelle-Calédonie (photo), à La Réunion ou encore en Guyane...
© Gendarmerie nationaleParticulièrement éprouvées par la crise sanitaire, qui a accentué les difficultés préexistantes, les populations ultramarines ont pu compter sur le soutien de la gendarmerie, notamment pour l’acheminement de l’aide alimentaire dans les zones les plus reculées, que ce soit en Nouvelle-Calédonie, à La Réunion ou encore en Guyane (Photo)...
© Gendarmerie nationaleDès le début de la crise sanitaire, le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale a fait un don de matériel spécifique à la prise en charge de patients COVID-19 (surblouses, blouses, surchaussures), afin de répondre aux besoins urgents de l’hôpital René Dubos, de Pontoise. Le 1er avril, le laboratoire d’analyse ADN projetable de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale a pris ses quartiers à l’hôpital de Garches, dans les Hauts-de-Seine, afin d’offrir son appui à l’AP-HP pour conduire des tests de dépistage de la COVID-19. Fin juillet c’est à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, que les experts ont conduit cette même mission. L’IRCGN a également mis son poste de sécurité microbiologique à la disposition de l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif, afin que leurs tests de dépistage puissent être effectués en toute sécurité.
© Gendarmerie nationaleLes gendarmes secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne de Pierrefitte-Nestalas (65) ont contribué à la fabrication de 35 000 masques en tissu, destinés à la population, en prêtant main-forte, sur leur temps libre et sur la base volontariat, à une entreprise locale.
© Gendarmerie nationaleComme de nombreux gendarmes, ou membres de leur famille, mais aussi des citoyens anonymes, tous passionnés de nouvelles technologies et makers à leurs heures, le gendarme Thierry, du Peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Cruas, a employé son temps libre et ses moyens personnels pour fabriquer et distribuer des visières de protection destinées aux soignants et aux petits commerçants des départements de l’Ardèche et de la Drôme voisine. Avec les treize autres makers de l’association CAPLab de Privas, il a ainsi fabriqué près de 15 000 visières.
© Gendarmerie nationaleParticulièrement éprouvées par la crise sanitaire, qui a accentué les difficultés préexistantes, les populations ultramarines ont pu compter sur le soutien de la gendarmerie, notamment pour l’acheminement de l’aide alimentaire dans les zones les plus reculées, que ce soit en Nouvelle-Calédonie, à La Réunion (photo) ou encore en Guyane...
© Gendarmerie nationaleTout en s’assurant du respect des mesures de confinement, les unités de gendarmerie maritime implantées sur la façade Atlantique se sont employées à distribuer leurs stocks de masques FFP2 aux personnes isolées sur les îles et pouvant être exposées au virus. Elles ont aussi proposé leur concours pour assurer des liaisons avec le continent en cas d’urgence.
© Gendarmerie maritimeDes « patrouilles solidaires » en Mayenne : c’est l’initiative lancée par le groupement de gendarmerie départementale pour faire perdurer l’élan de solidarité né durant le confinement. Ainsi, depuis la mi-mai, ces patrouilles, composées de gendarmes, d’un élu et d’un jeune volontaire, vont à la rencontre de la population.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges (photo) ou l’Orne, et ultramarins, plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationalePrivé du parcours mémoriel qu’il avait prévu pour célébrer le 80e anniversaire de la bataille de Stonne, le Groupement blindé de gendarmerie mobile (GBGM) de Versailles-Satory est parvenu à organiser, sur son emprise, dans le respect des mesures sanitaires, une compétition sportive à but commémoratif et caritatif : le challenge Stonne. Les recettes ont été reversées à l’Institut Pasteur pour aider la recherche d’un vaccin contre la COVID-19.
© Gendarmerie nationaleÀ l’instar de leurs camarades de l’escadron motocycliste, engagés dès le début du confinement aux côtés des escadrons départementaux de sécurité routière, les militaires des deux régiments d’infanterie de la garde républicaine ont renforcé, à compter du 29 avril, les unités des Groupements de gendarmerie départementale (GGD) de Seine-et-Marne et de l’Essonne, afin de les appuyer dans leurs missions quotidiennes. La garde a également mis en place une cellule dédiée à la prise de contact avec les populations vulnérables, en particulier les personnes âgées, qu’il s’agisse de veuves et veufs de l’arme ou d’aînés identifiés par les GGD d’Île-de-France.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges ou l’Orne, et ultramarins (photo : Nouvelle-Calédonie), plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges ou l’Orne, et ultramarins, plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN (photo) a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges ou l’Orne (photo), et ultramarins, plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationaleLe groupement de gendarmerie départementale d’Ille-et-Vilaine s’est engagé auprès de l’association des maires de France du département pour acheminer dans les mairies de sa circonscription, les 765 000 masques de protection commandés par l’association.
© Gendarmerie nationaleAssister à distance à la naissance de son enfant, continuer de le voir et e lui parler alors qu’il est hospitalisé... Des moments et des liens précieux que le capitaine Édouard K., ingénieur au sein du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, a contribué à maintenir au sein de l’hôpital Simone-Veil d’Eaubonne, grâce à la mise en place d’un dispositif de visioconférence sécurisé.
© Gendarmerie nationaleIntrinsèque au métier de gendarme, la présence sur le terrain, au contact de la population, s’est révélée d’autant plus essentielle en cette période de crise sanitaire, non seulement pour faire respecter les mesures de confinement, mais aussi pour informer et accompagner la population. Afin de pallier les difficultés de déplacement rencontrées par certains habitants résidant dans des villages isolés, parfois à plus d’une heure de route de la brigade la plus proche, les gendarmes de la compagnie d’Ajaccio ont pris la route à bord de leur « GendTruck » pour aller à leur rencontre.
© Gendarmerie nationalePartout sur le territoire, comme ici dans l’Oise, les gendarmes, d’active et de réserve, se sont particulièrement mobilisés au côté des personnes âgées, particulièrement vulnérables et bien souvent davantage isolées pendant le confinement, afin de les informer, de les rassurer, de les accompagner, de les aider au besoin, de veiller sur leur sécurité et, tout simplement, de garder le contact ! Les veuves et veufs des militaires de l’Arme ont également bénéficié de ces visites, qui leur permettent de conserver un lien avec l’Institution.
© Gendarmerie nationaleEn partenariat avec le SDIS des Yvelines et la faculté de pharmacie de Châtenay-Malabry, les militaires de la cellule nationale nucléaire radiologique biologique et chimique ont fabriqué près de 1 000 litres de solution hydroalcoolique. Leur production a bénéficié aux unités du groupement blindé de gendarmerie mobile, auquel la cellule est rattachée, mais aussi aux groupements de gendarmerie départementale de la grande couronne parisienne, à la garde républicaine, à la direction générale de la gendarmerie, ainsi qu'à l'hôpital André-Mignot, du Chesnay, auquel 200 litres de solution hydroalcoolique ont été offerts (sur la photo).
© Gendarmerie nationaleLes bénévoles du Lions Club de Pacy-sur-Eure se trouvant dans l’impossibilité de mener à bien leur opération caritative annuelle « Des tulipes contre le cancer », les gendarmes de l’Eure ont pris le relais. Ils ont ainsi cueilli les fleurs destinées à l’opération et les ont distribuées dans les centres hospitaliers du département, tout en mettant en place une cagnotte solidaire en interne au profit de la lutte contre le cancer.
© Gendarmerie nationaleDans plusieurs départements, comme en Côte-d’Or ou dans la Meuse, des gendarmes ont contribué à dispenser des séances gratuites de récupération psychophysiologique et de préparation mentale aux personnels soignants, fortement sollicités pendant cette période, ainsi qu’aux patients des EHPAD. Issues du monde militaire, ces techniques d’optimisation du potentiel consistent à transmettre des outils permettant de gérer la fatigue physique, mentale et émotionnelle en période de crise.
© Gendarmerie nationaleEn quinze jours, les couturières du club de couture de la caserne Richemont, à Nantes, aidées de plusieurs résidents et de femmes de gendarmes, parfois accompagnées d’adolescents motivés, ont confectionné par moins de 800 masques en tissu réutilisables, afin de pourvoir aux besoins internes de l’emprise. Ainsi, entre le 7 et le 11 mai, les militaires et les civils de la caserne ont reçu deux masques chacun.
© Gendarmerie nationaleAfin d’être au plus près des habitants durant la crise sanitaire, la compagnie de gendarmerie d’Annecy a innové, en mettant en place, chaque semaine, une permanence au sein du bureau de poste de Thorens-Glières (74), un village isolé au milieu des montagnes.
© Gendarmerie nationale
Tout en s’assurant du respect des mesures de confinement, les unités de gendarmerie maritime implantées sur la façade Atlantique se sont employées à distribuer leurs stocks de masques FFP2 aux personnes isolées sur les îles et pouvant être exposées au virus. Elles ont aussi proposé leur concours pour assurer des liaisons avec le continent en cas d’urgence.
© Gendarmerie maritimeParticulièrement éprouvées par la crise sanitaire, qui a accentué les difficultés préexistantes, les populations ultramarines ont pu compter sur le soutien de la gendarmerie, notamment pour l’acheminement de l’aide alimentaire dans les zones les plus reculées, que ce soit en Nouvelle-Calédonie (photo), à La Réunion ou encore en Guyane...
© Gendarmerie nationaleParticulièrement éprouvées par la crise sanitaire, qui a accentué les difficultés préexistantes, les populations ultramarines ont pu compter sur le soutien de la gendarmerie, notamment pour l’acheminement de l’aide alimentaire dans les zones les plus reculées, que ce soit en Nouvelle-Calédonie, à La Réunion ou encore en Guyane (Photo)...
© Gendarmerie nationaleDès le début de la crise sanitaire, le pôle judiciaire de la gendarmerie nationale a fait un don de matériel spécifique à la prise en charge de patients COVID-19 (surblouses, blouses, surchaussures), afin de répondre aux besoins urgents de l’hôpital René Dubos, de Pontoise. Le 1er avril, le laboratoire d’analyse ADN projetable de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale a pris ses quartiers à l’hôpital de Garches, dans les Hauts-de-Seine, afin d’offrir son appui à l’AP-HP pour conduire des tests de dépistage de la COVID-19. Fin juillet c’est à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle, que les experts ont conduit cette même mission. L’IRCGN a également mis son poste de sécurité microbiologique à la disposition de l’hôpital Paul-Brousse de Villejuif, afin que leurs tests de dépistage puissent être effectués en toute sécurité.
© Gendarmerie nationaleLes gendarmes secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne de Pierrefitte-Nestalas (65) ont contribué à la fabrication de 35 000 masques en tissu, destinés à la population, en prêtant main-forte, sur leur temps libre et sur la base volontariat, à une entreprise locale.
© Gendarmerie nationaleComme de nombreux gendarmes, ou membres de leur famille, mais aussi des citoyens anonymes, tous passionnés de nouvelles technologies et makers à leurs heures, le gendarme Thierry, du Peloton spécialisé de protection de la gendarmerie de Cruas, a employé son temps libre et ses moyens personnels pour fabriquer et distribuer des visières de protection destinées aux soignants et aux petits commerçants des départements de l’Ardèche et de la Drôme voisine. Avec les treize autres makers de l’association CAPLab de Privas, il a ainsi fabriqué près de 15 000 visières.
© Gendarmerie nationaleParticulièrement éprouvées par la crise sanitaire, qui a accentué les difficultés préexistantes, les populations ultramarines ont pu compter sur le soutien de la gendarmerie, notamment pour l’acheminement de l’aide alimentaire dans les zones les plus reculées, que ce soit en Nouvelle-Calédonie, à La Réunion (photo) ou encore en Guyane...
© Gendarmerie nationaleTout en s’assurant du respect des mesures de confinement, les unités de gendarmerie maritime implantées sur la façade Atlantique se sont employées à distribuer leurs stocks de masques FFP2 aux personnes isolées sur les îles et pouvant être exposées au virus. Elles ont aussi proposé leur concours pour assurer des liaisons avec le continent en cas d’urgence.
© Gendarmerie maritimeDes « patrouilles solidaires » en Mayenne : c’est l’initiative lancée par le groupement de gendarmerie départementale pour faire perdurer l’élan de solidarité né durant le confinement. Ainsi, depuis la mi-mai, ces patrouilles, composées de gendarmes, d’un élu et d’un jeune volontaire, vont à la rencontre de la population.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges (photo) ou l’Orne, et ultramarins, plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationalePrivé du parcours mémoriel qu’il avait prévu pour célébrer le 80e anniversaire de la bataille de Stonne, le Groupement blindé de gendarmerie mobile (GBGM) de Versailles-Satory est parvenu à organiser, sur son emprise, dans le respect des mesures sanitaires, une compétition sportive à but commémoratif et caritatif : le challenge Stonne. Les recettes ont été reversées à l’Institut Pasteur pour aider la recherche d’un vaccin contre la COVID-19.
© Gendarmerie nationaleÀ l’instar de leurs camarades de l’escadron motocycliste, engagés dès le début du confinement aux côtés des escadrons départementaux de sécurité routière, les militaires des deux régiments d’infanterie de la garde républicaine ont renforcé, à compter du 29 avril, les unités des Groupements de gendarmerie départementale (GGD) de Seine-et-Marne et de l’Essonne, afin de les appuyer dans leurs missions quotidiennes. La garde a également mis en place une cellule dédiée à la prise de contact avec les populations vulnérables, en particulier les personnes âgées, qu’il s’agisse de veuves et veufs de l’arme ou d’aînés identifiés par les GGD d’Île-de-France.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges ou l’Orne, et ultramarins (photo : Nouvelle-Calédonie), plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges ou l’Orne, et ultramarins, plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN (photo) a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationaleParmi les nombreuses initiatives, individuelles ou collectives, qui ont spontanément vu le jour à travers le territoire, pour accompagner la population tout au long de la crise, certaines ont particulièrement visé les scolaires, parfois victimes d’une absence de couverture numérique, d’un défaut d’ordinateur voire d’imprimante... Dans plusieurs départements métropolitains, comme les Vosges ou l’Orne (photo), et ultramarins, plus sensibles à cette fracture numérique, les gendarmes se sont ainsi mobilisés afin d’assurer la continuité pédagogique et éviter, pour certains élèves, le décrochage scolaire. Le service informatique du PJGN a quant à lui cédé gracieusement plusieurs ordinateurs à des associations de son secteur.
© Gendarmerie nationaleLe groupement de gendarmerie départementale d’Ille-et-Vilaine s’est engagé auprès de l’association des maires de France du département pour acheminer dans les mairies de sa circonscription, les 765 000 masques de protection commandés par l’association.
© Gendarmerie nationaleAssister à distance à la naissance de son enfant, continuer de le voir et e lui parler alors qu’il est hospitalisé... Des moments et des liens précieux que le capitaine Édouard K., ingénieur au sein du pôle judiciaire de la gendarmerie nationale, a contribué à maintenir au sein de l’hôpital Simone-Veil d’Eaubonne, grâce à la mise en place d’un dispositif de visioconférence sécurisé.
© Gendarmerie nationaleIntrinsèque au métier de gendarme, la présence sur le terrain, au contact de la population, s’est révélée d’autant plus essentielle en cette période de crise sanitaire, non seulement pour faire respecter les mesures de confinement, mais aussi pour informer et accompagner la population. Afin de pallier les difficultés de déplacement rencontrées par certains habitants résidant dans des villages isolés, parfois à plus d’une heure de route de la brigade la plus proche, les gendarmes de la compagnie d’Ajaccio ont pris la route à bord de leur « GendTruck » pour aller à leur rencontre.
© Gendarmerie nationalePartout sur le territoire, comme ici dans l’Oise, les gendarmes, d’active et de réserve, se sont particulièrement mobilisés au côté des personnes âgées, particulièrement vulnérables et bien souvent davantage isolées pendant le confinement, afin de les informer, de les rassurer, de les accompagner, de les aider au besoin, de veiller sur leur sécurité et, tout simplement, de garder le contact ! Les veuves et veufs des militaires de l’Arme ont également bénéficié de ces visites, qui leur permettent de conserver un lien avec l’Institution.
© Gendarmerie nationaleEn partenariat avec le SDIS des Yvelines et la faculté de pharmacie de Châtenay-Malabry, les militaires de la cellule nationale nucléaire radiologique biologique et chimique ont fabriqué près de 1 000 litres de solution hydroalcoolique. Leur production a bénéficié aux unités du groupement blindé de gendarmerie mobile, auquel la cellule est rattachée, mais aussi aux groupements de gendarmerie départementale de la grande couronne parisienne, à la garde républicaine, à la direction générale de la gendarmerie, ainsi qu'à l'hôpital André-Mignot, du Chesnay, auquel 200 litres de solution hydroalcoolique ont été offerts (sur la photo).
© Gendarmerie nationaleLes bénévoles du Lions Club de Pacy-sur-Eure se trouvant dans l’impossibilité de mener à bien leur opération caritative annuelle « Des tulipes contre le cancer », les gendarmes de l’Eure ont pris le relais. Ils ont ainsi cueilli les fleurs destinées à l’opération et les ont distribuées dans les centres hospitaliers du département, tout en mettant en place une cagnotte solidaire en interne au profit de la lutte contre le cancer.
© Gendarmerie nationaleDans plusieurs départements, comme en Côte-d’Or ou dans la Meuse, des gendarmes ont contribué à dispenser des séances gratuites de récupération psychophysiologique et de préparation mentale aux personnels soignants, fortement sollicités pendant cette période, ainsi qu’aux patients des EHPAD. Issues du monde militaire, ces techniques d’optimisation du potentiel consistent à transmettre des outils permettant de gérer la fatigue physique, mentale et émotionnelle en période de crise.
© Gendarmerie nationaleEn quinze jours, les couturières du club de couture de la caserne Richemont, à Nantes, aidées de plusieurs résidents et de femmes de gendarmes, parfois accompagnées d’adolescents motivés, ont confectionné par moins de 800 masques en tissu réutilisables, afin de pourvoir aux besoins internes de l’emprise. Ainsi, entre le 7 et le 11 mai, les militaires et les civils de la caserne ont reçu deux masques chacun.
© Gendarmerie nationaleAfin d’être au plus près des habitants durant la crise sanitaire, la compagnie de gendarmerie d’Annecy a innové, en mettant en place, chaque semaine, une permanence au sein du bureau de poste de Thorens-Glières (74), un village isolé au milieu des montagnes.
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Tout au long de la crise sanitaire, les gendarmes ont répondu présent. À titre individuel ou collectif, les initiatives se sont multipliées sur l’ensemble du territoire, afin d’accompagner et de rassurer la population, particulièrement les plus fragiles et les plus exposés, ainsi que les acteurs locaux. Bien plus qu’une mission, un véritable état d’esprit !