Créé en 2020 par la Gendarmerie nationale et les Éditions Plon, le Prix du roman de la gendarmerie est décerné annuellement, avec à la clé, pour le lauréat, la publication de son ouvrage chez Plon.

La gendarmerie au cœur de l’intrigue

Le Prix du roman de la gendarmerie vise à récompenser un roman inédit sur manuscrit, qu’importe le genre auquel il appartient, dans lequel la gendarmerie joue un rôle important et positif dans la progression de l’intrigue. Peuvent y concourir tous les auteurs qui le souhaitent, qu’ils soient civils ou gendarmes.

L’objectif est de mieux faire connaître l’institution et son potentiel romanesque et finalement, comme le résume parfaitement la sociologue Amélie M. Chelly, membre du jury de cette 4e édition, « de faire de la gendarmerie un personnage de roman ».

Une 4e édition en présence d’un jury de marque

Pour cette nouvelle édition, le jury était composé de militaires de la gendarmerie ainsi que de grands noms du monde littéraire et médiatique, parmi lesquels le romancier Maxime Chattam, l’avocate et romancière Julia Minkowski ou encore l’essayiste Éric Delbecque.

Après une visite de la caserne des Célestins et des démonstrations à cheval réalisées par des gardes républicains, les membres du jury se sont retrouvés à huit clos afin de sélectionner le lauréat parmi les trois ouvrages retenus à l’occasion d’une pré-sélection réalisée par les éditions Plon.

Interrogé par Gendinfo, Maxime Chattam, spécialiste du roman policier, a confié qu’un des trois ouvrages en lice « devait absolument être édité » et qu’il tenterait de convaincre les autres membres du jury en ce sens à l’occasion des débats. Il incite les écrivains en herbe comme ceux plus confirmés à concourir à ce prix, qui offre une grande visibilité en permettant de bénéficier de la critique d’un jury particulièrement averti.  

Rendez-vous en mars prochain pour connaître le lauréat de cette 4e édition !