Gaëlle Edon visite le Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale

  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à gauche, de dos, avec à sa gauche un expert du département ballistique de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), devant des rangées d'armes à feu, à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à gauche, échange avec une experte du département faune flore forensique de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, qui lui montre un inscte sur un écran.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), de dos à droite, disctute avec un expert en ballistique de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale. Autour d'eux de nombreuses armes à feu.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à gauche, au Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale. A sa gauche, le colonel Georges Pierrini, ingénieur criminaliste, chargé de mission du PJGN.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à droite, en visite à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale. A sa droite, un expert de l'IRCGN.
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à gauche, de dos, avec à sa gauche un expert du département ballistique de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), devant des rangées d'armes à feu, à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à gauche, échange avec une experte du département faune flore forensique de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, qui lui montre un inscte sur un écran.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), de dos à droite, disctute avec un expert en ballistique de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale. Autour d'eux de nombreuses armes à feu.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à gauche, au Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale. A sa gauche, le colonel Georges Pierrini, ingénieur criminaliste, chargé de mission du PJGN.
    © Bcom PJGN
  • La para-sportive Gaëlle Edon, Sportive de haut-niveau de la Défense - Gendarmerie (SHND-G), à droite, en visite à l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale. A sa droite, un expert de l'IRCGN.

Gaëlle Edon, Sportive de haut niveau de la Défense - gendarmerie (SHND-G) depuis le mois de mai 2023,  s'est rendue, vendredi 17 novembre 2023, au Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale (PJGN). Para-athlète de niveau mondial, vice-championne du Monde de tir le mois dernier à Lima, Gaëlle a été Gendarme adjoint volontaire (GAV) de 2009 à 2012, et a suivi un stage à la Cellule identification criminelle (CIC) du Groupement de gendarmerie départementale (GGD) de la Haute-Savoie pendant ses études de droit. La sportive a passé la matinée avec les experts de la division criminalistique physique et chimie de l’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN). « En tant que sportive de haut niveau de la gendarmerie, c'est un honneur de visiter l'IRCGN, et je tiens à remercier sincèrement l'ensemble des personnels pour leur professionnalisme et leur joie de me faire partager leur passion ! Cela me conforte dans mon orientation : obtenir un DU en criminalistique et sciences forensiques après mon master en droit pénal et sciences criminelles », a-t-elle indiqué.

Le département balistique lui a ouvert ses portes, avec pour guide un tireur sportif, expert en balistique. « La balistique est un domaine qui me fascine, et dans lequel je me sens à mon aise du fait de ma pratique sportive. J'ai également pu visiter le département micro-analyse, avec l'étude des résidus de tirs, puis le département faune et flore forensiques, deux spécialités qui m'intéressent également. »