Journée internationale des femmes et des filles de science : portrait, en image, de la cheffe Sandrine

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À 43 ans, la cheffe Sandrine, de la Cellule d’identification criminelle (CIC) de la gendarmerie de Corse-du-Sud, a un parcours bien rempli.

Issue des Troupes Aéroportées de Pau, cette militaire dans l’âme intègre l’école de sous-officiers de la gendarmerie de Montluçon en 1999. Affectée à la brigade de Villeneuve-de-Marsan, dans les Landes, jusqu’en 2005, elle poursuit sa carrière au sein de plusieurs Groupes d’observation et de surveillance, notamment celui de Dijon, Lyon et, enfin, Ajaccio.

En 2019, elle continue son parcours militaire sur l’Île de Beauté, mais cette fois-ci au sein de la CIC de Corse-du-Sud. Attirée par la Police technique et scientifique (PTS), elle fait partie d’une équipe de quatre gendarmes qui interviennent à la demande des brigades territoriales et de recherches sur des scènes de crime dans ce département.  

Sa mission, en tant que spécialiste, consiste à prélever et conserver les traces et indices laissés sur les scènes de crime, rechercher les traces papillaires dans son laboratoire et les révéler afin qu’elles servent à confondre le ou les auteurs d'infraction. Le panel d’enquêtes auxquelles elle participe est large. Elles peuvent aller des atteintes aux personnes en passant par les biens, mais aussi les incendies et les destructions par moyens dangereux.